Point d’étape sur le chantier du MUZ
Vaimu’a Muliava et Mickaël Forrest, membres du gouvernement chargés respectivement de la construction et du secteur de la culture, ont visité le 13 septembre dernier le chantier d’extension et de rénovation du Musée de la Nouvelle-Calédonie (MUZ). Un point d’étape de l’avancée des travaux a été réalisé avec Julien Vincent, l’architecte de Why Architecture.
L’imposant chantier d’extension et de rénovation du MUZ suit son cours depuis son lancement en 2019. Pour s’en assurer, les membres du gouvernement Vaimu’a Muliava et Mickaël Forrest l’ont visité le 13 septembre dernier en présence de Julien Vincent, architecte au cabinet bordelais Why Architecture.
Afin d’offrir un espace à la hauteur de la qualité des collections du Musée de la Nouvelle-Calédonie, le chantier s’oriente selon deux axes : la restauration des bâtiments existants et l’extension du musée. « Les quatre nouvelles structures sont déjà formées, a indiqué Julien Vincent. La première, qui a démarré il y a un peu plus de six mois, en est aux finitions intérieures et a déjà ses panneaux solaires et son réseau électrique, tandis que la quatrième n’a pas encore de toit. Les deux autres sont dans un état intermédiaire. »
Cette extension offrira au futur musée un espace d’accueil et un café, de nouveaux espaces d’exposition, un espace pédagogique et des locaux administratifs.
La rénovation de la structure existante (2 629 m2) a, quant à elle, subi quelques contretemps. En l’absence d’imprévus majeurs, la fin du chantier est estimée au mois de mars 2024.
Tenir les délais
Lors de la visite du chantier, les deux membres du gouvernement ont insisté sur la nécessité d’ouvrir l’établissement au public dans le délai fixé. Le MUZ « sera une fenêtre sur notre histoire et notre culture », a indiqué Mickaël Forrest.
« Nous voulons que ce chantier du musée aboutisse rapidement, comme l’aurait souhaité madame Déwé Gorodey, et monsieur Didier Poiydialywane, qui ont porté et défendu ce projet de renouveau du Musée de la Nouvelle-Calédonie. », a souligné Vaimu’a Muliava.